L’Urban Kiz, née en France en 2014, a utilisé certains pas basiques de kizomba, ainsi que la Kiz’Fusion, et les a adaptés et modifiés pour danser sur de nouvelles musiques:
La danse Urban’kiz se caractérise par son énergie robotique néanmoins très technique.
Les musiques Moombahton, Zouk bass, Tarraxa Electro ont été utilisées pour créer la danse Urban Kiz.
Il n’existe pas de musique ou rythme « urbankiz », cela désigne une danse seulement.
Le mot Urban représente la musique liée au RnB (voir Ghetto-Zouk), et le terme Kiz montre simplement qu’il a été influencé par la Kiz’Fusion. La principale différence est que les danseurs gardent généralement plus de distance entre eux et n’ont pas forcément une connexion poitrine contre poitrine, contrairement à la Kiz’Fusion.
Tout a été modifiée/créé ce qui en fait une danse à part entière, et non pas un « style différent » de Kizomba.
Pour les deux partenaires, le tronc demeure fixe, le corps inflexible, tout en étant léger, les jambes sont tendues et l’énergie est différente : on demande aux suiveurs de gainer. La musique urbaine utilisée est également plus lente, mais la danse comporte de nombreux changements de rythmes dynamiques, avec des accélérations, des pauses et des transitions plus ou moins lentes, suivant le tempo. L’urban kiz se caractérise aussi par les mouvements de feinte des jambes des hommes ou encore les contre-temps. L’urban kiz introduit aussi la tarraxinha (danse angolaise), mais qui a néanmoins une différence notable : la tarraxinha se caractérise par des mouvements de blocage des parties du corps, sur place sans déplacement.